Chinua Achebe est mort. La nouvelle s'est répercutée dans les capitales de la littérature, dont l'arène internationale de la littérature africaine dans laquelle je me trouve actuellement, l'Association de littérature africaine, qui tient sa conférence annuelle à Charleston, dans la Caroline du sud. C'est ici sans doute, au milieu de tous ces professeurs de littérature africaine, indiens, américains, africains, européens, de ces multiplicateurs internationaux de la parole de l'écrivain africain, que la signification de la littérature africains est vivante (...)
[Lire la suite de l'article d'Alain-Patrice Nganang publié par Camer.be]