En 2002, le réalisateur part dans le village natal de sa mère et tombe amoureux d'une fille. Leur amour est impossible car elle est l'enfant des esclaves de ses grands-parents. Lui-même est d'une famille noble et maraboutique, au sommet de la société Soninké qui est "hiérarchisée, très inégalitaire et esclavagiste". En août 2007, le gouvernement mauritanien adopte une loi criminalisant et réprimant la pratique de l'esclavage pourtant abolie en 1960 puis en 1981. Ousmane Diagana retourne en Mauritanie pour comprendre.
à 16h30. Entrée libre, gratuite
Suivi d'un débat avec le réalisateur ou des membre de l'équipe de production et de réalisation
Au musée du Quai Branly, 37 quai Branly 75 007 Paris, salle de cinéma